Claude BERNARD semble s’être totalement inspiré de travaux exégétiques solides pour écrire les couplets. Si l’analyse comparative des récits de guérison[1] d’un aveugle chez Marc, Matthieu et Luc, arrive à la conclusion que les textes se structurent en quatre parties, il y a par contre des divergences profondes chez Jean.
Fort de ces constats, chacun des quatre couplets composés tentera de rendre compte de cet apport exégétique.