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De l'exégèse évangélique à la poésie d'un chant liturgique
Claude BERNARD semble être d’abord un exégète avant d’être un écrivain. Son inspiration semble être puisée à la source de l’interprétation de l’Ecriture ! Elle semble jaillir non pas du texte biblique en lui-même, mais de son interprétation au sein même de la compréhension historico-critique du corpus évangélique.
Sa démarche est audacieuse et pertinente, puisqu’elle permet aux communautés qui chantent ses cantiques, d’être en lien avec l’Ecriture mais surtout avec l'Intell


Vers toi je viens, Jésus-Christ
Claude BERNARD semble s’être totalement inspiré de travaux exégétiques solides pour écrire les couplets. Si l’analyse comparative des récits de guérison[1] d’un aveugle chez Marc, Matthieu et Luc, arrive à la conclusion que les textes se structurent en quatre parties, il y a par contre des divergences profondes chez Jean.
Fort de ces constats, chacun des quatre couplets composés tentera de rendre compte de cet apport exégétique.


Elevez-vous Portes éternelles, qu’il entre le Roi de gloire !
aire mémoire de sa Dédicace c’est à la fois revenir aux sources du christianisme en ses origines, faire mémoire du sang des martyrs versé à Rome, à Jérusalem et dans d’autres lieux de l’Empire. Mais aussi faire mémoire d’un lieu de communion et d’unité pour l’Eglise Catholique. Mais au-delà de ces considérations officielles et historiques, qu’est-ce que la mémoire de cette Dédicace peut nous apporter ? Que peut-elle signifier ?


Bizarre ! Vous avez dit bizarre ?
Le récit de la guérison des lépreux est célèbre, mais à bien y faire attention, il propose plus de questions nouvelles que de solutions. Revenons sur cette page d’évangile aux accents énigmatiques, parfois même absurdes.
Tout commence normalement, et je dirai même en suivant le protocole sanitaire de l’époque pour éviter contaminations et propagations. Luc mentionne ensuite une rencontre, un carrefour : puisque la route de Jésus entrant dans un village croise la route de


O Crux ave, spes unica
« Ô crux ave, spes unica » qui peut se traduire par « Ô Croix salut ! espérance unique ! ».
Tel est ce verset que l’on retrouve souvent inscrit sur les croix de nos églises, et calvaires de nos campagnes. Ce verset appartient à l’hymne Vexila Regis et son histoire nous permettra de comprendre le sens de cette fête.


Vasperviller: projet pédagogique autour de la facture d'orgue
Entre le 10 et le 19 juin 2025, 26 élèves volontaires issus des 3 classes de 4ème du collège Saint-Antoine de Phalsbourg ont été en immersion pour découvrir l'art de la facture d'orgue.
Ils profitèrent du relevage de l'orgue Théo HAERPFER (1984) de l'église de Vasperviller par Mr Sébastien BRAILLON, facteur d'orgues aux environs de Mulhouse. Par équipe de 3 élèves, ils se relayèrent par demi-journée pour découvrir toute la mécanique de l'orgue, sa fabrication et son fonction


Divisez pour mieux...
omment interpréter ces deux versets où Jésus annonce qu’il est venu apporter un feu sur la terre, puis qu’il est venu apporter la division et non la paix ? Son feu céleste est-il celui de la destruction, de la colère divine ?
Il est donc nécessaire de cerner avec justesse le sens du terme division pour ne pas faire de ce passage une justification pour les disciples du Christ de bien des fanatismes, intolérants et destructeurs.


Qui donc est Dieu?
Quel est donc ce texte pour qu’il s’inscrive ainsi dans la mémoire collective de générations différentes et suscite autant d’adaptation ?
La première raison est sans doute que nous oublions que cette hymne n’est faite que de questions ! Il n’y a aucune affirmation ! Cette ponctuation imprime déjà une interprétation précise où l’acte musical et vocal ne doivent pas être attestataires ou démonstratifs, mais uniquement sur le subtil registre de l’émerveillement.


Le Maître face à une bévue ancillaire?
Si le vaudeville est caractérisé par le comique de situation, il faut reconnaître que cette scène, où d’un côté Jésus enseigne Marie et de l’autre Marthe s’afférant à tous les détails du service, met en lumière une insolente provocation ! Il se trouve que Marthe interrompt sans concession l’enseignement de Jésus à sa sœur, pour se plaindre de contingences exclusivement matérielles.
Si Marthe accomplit avec excès de zèle le commandement de l’amour du prochain à travers le


Mémorial ! Vous avez dit Mémorial ?
Le récit de la multiplication selon saint Luc a une valeur initiatique : Jésus semble déjà
apprendre aux apôtres à perpétuer l’exemple qu’il leur laissera à l’heure de sa Pâque et
qui deviendra le Trésor le plus précieux de l’Eglise, autant sa pierre angulaire que sa
source : le mémorial de son Corps livré et de son Sang versé. Mémorial de sa Passion où
la gloire de la vie éternelle nous est déjà donnée.


Celui qui aime a déjà franchi la mort
Ce cantique du répertoire liturgique pour les funérailles est l’un des plus pertinents lorsque nous sommes dans une année jubilaire. La mort est présentée comme un franchissement, dans l’Amour, vers la Vie éternelle.
Chanter ce cantique au moment où un défunt franchit la porte d’une église, c’est faire mémoire de cette vocation biblique d’être « Juste » comme Jésus-Christ. Mais c’est aussi demander qu’il soit à nouveau plongé dans l’Amour reçu lors de son baptême.


Apprends-nous à aimer...
Apprends-nous à aimer : telle pourrait être la question posée au Seigneur si nous avions été témoins oculaires de cet enseignement prononcé à l’issue du lavement des pieds. A l’approche de l’Ascension et de la fin du temps pascal, revenons à la source.
D’après l’évangile de ce dimanche, l’écoute serait le propre de celui qui aime ! En effet Jésus atteste par deux fois que l’écoute de ses paroles est le signe de l’amour que nous lui portons.


De l'eau, de l'huile et de la farine...
Magnifiés lors de la Semaine Sainte, ces éléments constituent la pâte qui nous fera mieux comprendre quel baptême nous a purifiés, quel Esprit nous a fait renaître, et quel sang nous a rachetés. Goûtons inlassablement de ce pain-là ! Le pain que nous mangeons n’est-il pas mélange d’eau, d’huile et de farine ?
L’eau est magnifiée par la veillée pascale, l’huile par la messe chrismale, la farine (pain) par le Jeudi Saint.


Bien tard je t’ai aimée, Ô beauté, si ancienne et toujours nouvelle
Libre commentaire d'évangile, 4ème Dimanche de Carême, parabole du Fils prodigue, Lc 15 1-3.11-32, 31 mars 2025, L'Ami Hebdo, Rembrandt


Il est digne et juste de faire son éloge
Commentaire d'évangile, l'Ami Hebdo, 8ème dimanche du temps ordinaire, 2 mars 2025, Lc 6 39-45, brasier ardent, hymne à la Charité


Venez, marchons à la lumière du Seigneur (Is 2,5)
Commentaire d'évangile, Ami Hebdo, 2 février 2025, présentation du Seigneur au Temple, Eucharistie, Syméon, Sacrifice de louange, Recevoir


L'Esprit de Dieu repose sur moi
Commentaire cantique Lucien DEISS, L'esprit de Dieu repose sur moi, revue musique liturgique CAECILIA, baptême, Léonard de Vinci, Synagogue


Du levant au couchant du soleil...
Commentaire d'évangile, Ami Hebdo, Epiphanie du Seigneur, 5 janvier 2025, "Du levant au couchant du soleil", lumière qui brille


Recension "Découvrir les Pères de l'Eglise"
Recension, nouveau manuel de patristique, Edition Artège, Découvrir les Pères de l'Eglise, 2 septembre 2024, Professeur Marie-Anne Vannier


A tout Seigneur, tout honneur
Libre commentaire d'évangile, l'Ami Hebdo, 2ème Dimanche de l'avent, 8 décembre, Georges De La Tour, l'éducation de Marie, Jean-Baptiste
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