C'était l'année 59 ! (03)
- bohleremmanuel
- 29 juil. 2021
- 12 min de lecture
Article initialement publié le 20 mars 2012 sur le blog collectif "Vatican II : Objectif 50 ans" dont les finalités étaient de préparer le Jubilé d'or de cet évènement majeur pour l'Eglise au XXème siècle, de promouvoir son histoire et ses textes.
Cet article propose un commentaire de la première encyclique de Jean XXIII "Ad petri cathedram" publiée le 29 juin 1959. Il s'agit de l'encyclique programmatique concernant la préparation et l'esprit du futur concile.
La création de ce blog collectif se situait dans la dynamique de la Lettre apostolique "Porta Fidei" du pape Benoît XVI datant du 11 octobre 2011. Par cette Lettre était promulguée la prochaine "Année de la foi" qui devait s'ouvrir le 11 octobre 2012 en même temps que le Jubilé d'or de l'ouverture du Concile Vatican II.

Chair de saint Pierre, le Bernin, Basilique saint Pierre de Rome
AMORCES DU RENOUVELLEMENT DE LA DIMENSION "CATHOLIQUE" DE L'EGLISE
Comme nous l’avions vu dans un article précédent[1], le 17 mai 1959 lors de la Pentecôte, Jean XXIII va donner une impulsion particulière pour les différentes phases de préparation du Concile.
D’ailleurs à chaque solennité de la Pentecôte entre 1959 et 1962, Jean XXIII délivrera des homélies et allocutions, parmi les plus belles et les plus profondes pour tenter de rendre compte de la préparation et de l’esprit qu’il souhaite voir advenir pour le futur concile.
Jean XXIII, en choisissant la solennité de la Pentecôte, imprime à l’enseignement du Magistère un renouvellement propre à l’Orient. Par suite de ses différentes missions, il connait bien le monde oriental et surtout sa théologie sur l’Esprit Saint. Le monde occidental est plus façonné par une théologie christo-centrée.
Or, faire de l’homélie pour la Pentecôte[2] une interprétation anamnétique de l’Eglise et choisir comme date symbolique de cette préparation au renouvellement de l’Eglise ce mystère, permet à Jean XXIII d'ouvrir largement la porte au renouvellement de la théologie de l’Esprit Saint dans le monde latin.
Cet enracinement dans une théologie du Saint Esprit en connexion avec l’ecclésiologie va permettre à Jean XXIII de mettre en œuvre la préparation du Concile vers une épiphanie, une manifestation de l’Eglise.
Il souhaite, avant même que le Concile ne soit convoqué et que les Pères Conciliaires ne soient là, cette manifestation de toute la diversité, de toute l’universalité de l’Eglise Catholique.
Le jour de la Pentecôte, pour manifester cette universalité et cette diversité, Jean XXIII promulgue la création de la commission anté-préparatoire le 17 mai 1959. Elle aura pour rôle de constituer toute la « matière » (thèmes, et contenus théologiques et pastoraux) qui sera soumise aux Pères Conciliaires.
Il lance, grâce à cette commission, une gigantesque consultation mondiale ! Puisque seront consultés tous les cardinaux, archevêques et évêques du monde entier, ainsi que tous les patriarches et responsables des Eglises catholiques orientales, tous les supérieurs majeurs de congrégations religieuses, l’ensemble des universités catholiques et facultés de droit canonique à travers le monde.
La consultation ne concerne que les responsables hiérarchiques, hormis les universités et les facultés de droit canonique. Ce qui est tout à fait normal étant donné qu’un Concile, selon la pratique pluriséculaire de l’Eglise, ne rassemble que les responsables hiérarchiques de communautés chrétiennes ou religieuses et ceux que ces derniers veulent bien nommer.
Cette commission devra récolter, analyser, synthétiser, et ordonner l’ensemble des résultats de cette consultation mondiale. La tâche sera d’autant plus difficile que les retours de consultations se feront dans toutes les langues. Un effort de traduction et de coordination sera nécessaire ! Rien que sur cette question de la diversité de la langue, ce travail de la commission ressemblera à l’expérience de la Pentecôte, telle qu’elle est décrite dans les Actes des Apôtres[3] : on parle des merveilles de Dieu dans toutes les langues !
Une fois la synthèse et l’analyse des résultats de consultations obtenues, le travail de la commission anté préparatoire permettra de discerner la création de « commissions de préparation » qui se verront attribuées une tâche particulière.
Le travail ira vite, puisqu’un an plus tard (le 05 juin 1960) lors de la solennité de la Pentecôte, Jean XXIII promulgue la création de 10 commissions de préparation, avec chacune un thème particulier (rôle des évêques, apostolat des laïcs, théologie, sacrements, liturgie, Eglises catholiques orientales, les prêtres, le peuple chrétien, l’école catholique et les séminaires, les religieux). Ainsi qu’une commission centrale qui coordonnera l’ensemble des travaux des 10 commissions.
Mais nous n’en sommes encore pas là…
UNE ENCYCLIQUE PROGRAMMATIQUE
Pour accompagner le travail de cette consultation mondiale suivie par la commission anté préparatoire, mais aussi pour aider au discernement des membres hiérarchiques consultés, Jean XXIII adresse sa première encyclique proposant des pistes sur la préparation de ce futur Concile. Le 29 juin 1959, il signe donc l’encyclique « Ad petri cathedram[4] ». Mais cette encyclique étant adressée à chaque catholique, Jean XXIII convoque ainsi l'ensemble des membres de l'Eglise sur le chemin du futur concile. Grâce à cette encyclique programmatique, non seulement Jean XXIII guide l'Eglise catholique sur le chemin du futur concile, mais ce dernier sera bien l'œuvre de son pontificat.
Il est extraordinaire de voir la cohérence de pensée de Jean XXIII et le programme très précis de la préparation. Il est bien le « pasteur » qui guide avec soin et de prêt la préparation du Concile. Mais il guide en collégialité avec les autres membres hiérarchiques de l’Eglise. En effet, même s’il soumet l’idée de convoquer un concile aux cardinaux, Jean XXIII manifeste un détachement complet sur le contenu ! Il discerne qu’il est nécessaire qu’un concile soit convoqué pour répondre aux questions du temps, mais en même temps il ne sait rien du contenu de la réponse : il s’en remet au discernement de tous les membres de la hiérarchie catholique consultés à travers le monde !
Le Concile Vatican II sera bien une « réponse » aux questions du temps que Jean XXIII a pris la peine de discerner et de cibler le 25 janvier 1959.
L’encyclique est un déploiement très ordonné et méthodique de son allocution lors du consistoire extraordinaire secret du 25 janvier 1959, en lien avec l’ensemble des décisions, à savoir convoquer le synode de la ville de Rome, le concile œcuménique, la réforme du code de droit canonique.
A cette date, comme cela avait déjà été mis en lumière des articles précédent[5], Jean XXIII propose l’idée d’un Concile pour des « réaffirmations doctrinales » (renforcer la liberté sujette à de graves compromissions et lutter contre les erreurs de doctrines qui se répandent à cause d’une mauvaise exploitation des moyens de communications) et de « sages ordonnancements » (raviver la vie évangélique et morale, lutter contre le matérialisme grandissant et œuvrer en faveur de l’unité et de la paix).
En prenant appui sur les trois thèmes majeurs de la lettre aux Romains, face à la dégradation de la liberté constatée dans le monde, Jean XXIII souhaite que le Concile puisse œuvrer en faveur de la vérité, de l’unité et de la paix.
Or tout le plan de l’encyclique sera fait à partir de ces thématiques issus de la Lettre aux Romains : Vérité, Unité, Paix. Le travail de préparation du Concile aura une fondation et enracinement solide dans le sillage de la Lettre aux Romains. C'est bien la théologie biblique de ce célèbre texte du Nouveau Testament qui guide l'action pastorale de Jean XXIII.
UN CONCILE POUR LA RECHERCHE DE LA VERITE
Pour la partie consacrée à la « Vérité », Jean XXIII évoque les difficultés de l’Eglise face à la contestation grandissante envers les vérités révélées et l’Ecriture, l’indifférentisme religieux (montée du matérialisme), de même les problèmes liés à la propagation volontaire de fausses idées à cause des médias. Il écrit à ce sujet :
« …Quant à ceux qui osent à dessein attaquer la vérité connue, parler, écrire et agir en se servant des armes du mensonge, pour se concilier la faveur des gens simples et pour modeler à leur guise, l’esprit des jeunes, encore souple et ignorants, ceux-là, sans aucun doute, abusent de l’ignorance et de l’innocent d’autrui et se livrent à une activité absolument répréhensible.[6]»
Jean XXIII semble souhaiter que le Concile puisse réaffirmer la doctrine catholique en ce qui concerne la Révélation, ainsi qu’une juste utilisation des médias au service de la vérité. Pour cette question de la vérité révélée ainsi exposée, le futur concile y répondra puisqu’une constitution dogmatique sera consacrée à la Révélation et aux statuts de l'Ecriture en lien avec la Tradition et le Magistère : « Dei Verbum[7] ». Un décret concernera les médias et les moyens de communication sociale : « Inter mirifica[8] ».
UN CONCILE POUR RECHERCHER L'UNITE ET DE LA PAIX
Pour la question de « l'Unité », Jean XXIII va d’emblée la mettre en lien avec la paix. Ces deux dimensions devront concourir aux « sages ordonnancements » à la fois en faveur de l’Eglise, mais aussi de l’unité du genre humain. Le premier paragraphe révèle la visée générale du futur concile selon la pensée du pape. Il dit ceci :
« … De l’acquisition de la vérité pleine, entière, et sincère, doit découler nécessairement l’élévation des esprits, des cœurs, des actions. Les oppositions, les litiges, les désaccords naissent en premier lieu du fait que la vérité n’est pas connue, ou, que pire encore, du fait que bien connue, elle est attaquée en vue des avantages que l’on espère retirer du mensonge, ou par suite de cet odieux aveuglement qui pousse les hommes à justifier, et avec trop d’indulgence, leurs passions et leurs actions coupables.[9]»
Ce paragraphe, met en lumière le nœud théologique que Jean XXIII avait discerné devant les cardinaux et qui l’avait poussé à demander la convocation du concile. Ne perdons jamais de vue que si Jean XXIII souhaite un concile, c’est à cause de la dégradation progressive et de la compromission de la liberté. La nouveauté est qu’il semble ne pas s’intéresser uniquement à la liberté de l’Eglise, dans son rapport avec les Etats, mais aussi de la liberté de l’homme en général.
Le pape suggère que le futur concile, se voulant réponse à cette dégradation et à cette compromission de la liberté, devra remettre en lumière la vérité. Mais attention, il s'agit bien de la vérité révélée et pas autre chose ! Le futur concile devra réaffirmer et redire pour le monde de ce temps, ce que l’on appelle le "dépôt de la foi" et qui constitue la Révélation !
Cette réaffirmation permettra non seulement de se réapproprier ce même dépôt, mais surtout d’être un fondement solide pour concrètement œuvrer en faveur de la paix et de l’unité ! La recherche de la vérité s’associe alors avec une action en faveur du genre humain, du monde et de l’Eglise ! La paix et l’unité grandiront lorsque la liberté sera sauvegardée et protégée, au sein même de cette dynamique de recherche de la vérité. Le Concile répondra à cette question sur l’unité du genre humain, par la constitution dogmatique et pastorale « Gaudium et spes[10] ».
Pour se faire, Jean XXIII va rédiger 02 parties complètes sur cette question de l’unité : une partie sur l’unité du genre humain. Une autre, sur l’unité de l’Eglise.
Jean XXIII va d’abord développer l’unité du genre humain ! Voilà ce qui l’inquiète en premier. Par conséquent et cela constitue une nouveauté dans l’histoire des textes du Magistère, Jean XXIII semble souhaiter que le travail du concile soit d’abord pour le monde, en faveur de la fraternité humaine. Dans cette partie de l'encyclique, l’unité du genre humain repose sur le travail de la doctrine sociale de l’Eglise. Jean XXIII, dès le début de son ministère de prêtre, a œuvré en faveur du monde ouvrier par des associations de solidarité. Il semble être préoccupé par cette question : la division entre les hommes et les conflits proviennent de cette question sociale du travail. Ainsi, l’action concrète de l’Eglise en faveur de l’unité du genre humain reposera sur la question du travail de l’homme. Le décret sur l’apostolat des laïcs « Apostolicam actuositatem[11] » traitera de cette question sociale ainsi que la constitution dogmatique et pastorale « Gaudium et spes[12]».
C’est seulement après avoir évoqué la question de l’unité du genre humain que Jean XXIII propose une autre partie sur l’unité de l’Eglise. Il opère une méditation johannique, théologique et cordiale sur cette question. Cette unité de l’Eglise reposera sur plusieurs domaines : unité de foi, de gouvernement, de culte : à travers ces trois angles d’approche nous retrouvons en fait, toute la théologie de l’épiscopat, qui à cette époque est en pleine recherche. L’épiscopat, se fondant sur une mission de promotion et de défense de l’unité des croyants au sein du peuple qui leur est confié, est en fait construite à partir de la charge d’enseignement (unité de la foi), la charge de gouvernement (action pastorale), la charge de sanctification (le culte). Il est extraordinaire de voir que Jean XXIII met en lien la question de l’unité de l’Eglise, avec la théologie de l’épiscopat ! Cependant il propose un socle concret pour cette recherche multiforme de l’unité de l’Eglise : la charité.
La question de l’unité de l’Eglise sera posée dans plusieurs textes du futur concile. Déjà au sein de la constitution dogmatique sur l’Eglise « Lumen Gentium[13] ». Puis dans son décret d’application en faveur de l’œcuménisme « Unitatis redintegratio[14] ». Il y aura aussi un décret sur la charge pastorale des évêques « Christus dominus[15]», sans oublier la constitution dogmatique sur la liturgie « Sacrosanctum concilium[16] ».
Il est stupéfiant de voir que dès le 29 juin 1959, se profile déjà les thématiques de huit textes du Concile (soit la moitié), dont les quatre constitutions dogmatiques majeurs !
ORIGINALITE D'UNE REDACTION
Cependant, la subtilité de Jean XXIII va être dans la rédaction de ce texte programmatique.
Dès l’introduction de l'encyclique on remarque qu'elle est écrite pour les catholiques mais elle s'adresse aussi à la faveur des « hommes de bonne volonté » ! C’est la première fois qu’un pape s’adresse dans un texte du Magistère pour les catholiques « ad intra » tout autant que pour le monde « ad extra » !
Par exemple, il écrit :
« …L’éternelle jeunesse de l’Eglise, catholique. Elle est le signe de ralliement des nations. C’est d’elle que tous les peuples reçoivent la lumière intérieure et la douceur de la charité.[17] »
Mais la citation la plus significative est sans aucun doute celle-ci :
« …Nous exhortons à cette concorde et à cette paix les chefs suprêmes des nations. Placés au-dessus des conflits, Nous embrassons tous les peuples avec la même charité et ne sommes pas mû par des intentions de domination politique ni par aucun désir des biens terrestres. En parlant d’un sujet aussi important, Nous croyons pouvoir être jugé sereinement et écouté par les hommes de toutes les nations.[18]»
En adressant ainsi l'encyclique à tous les "hommes de bonne volonté", Jean XXIII propose avec humilité un témoignage de fraternité. Mais une fraternité qui n'est pas d'ordre politique ou économique et encore moins dans ce que l'on désignera par le concept géopolitique d'un "nouvel ordre mondial" apparu dès la fin de la Guerre froide. C'est une fraternité humaine entre différents peuples (nations), où chaque peuple (ou nation) peut se sentir "frère" d'autres peuples (nations). C'est davantage en écho avec le concept géopolitique de "coexistence pacifique" de ces années 1954-1962.
Jean XXIII semble avoir conscience que l'Eglise Catholique, par la force de son universalisme, peut apporter ce témoignage de fraternité humaine. En tous cas, il semble s'engager dans cette voie.
D'ailleurs la célèbre et si médiatique procession d'entrée des plus de 2400 Pères conciliaires le 11 octobre 1962, venant du monde entier, rassemblant peuples, langues et cultures, ne forme-t-elle pas un humble mais éloquent témoignage de fraternité dans un monde qui sera, quelques jours plus tard, au bord de la troisième guerre mondiale avec l'épisode des missiles de Cuba (14-28 octobre 1962) ?
Par conséquent, Jean XXIII souhaite que le concile soit en même temps une œuvre en faveur de la paix pour le monde (« ad extra ») et une œuvre de renouvellement de vie chrétienne pour l’Eglise Catholique (« ad intra ») !
Toute la dernière partie, soit moins d’un tiers du document, est faite de salutations qui s’adressent à toute l’universalité de l’Eglise ! Il y a un paragraphe pour chacun : pour les évêques, les prêtres, les religieux, les missionnaires, les religieuses, les membres de l’Action Catholique, les affligés et éprouvés, les économiquement faibles, les réfugiés et les émigrés, les personnes persécutées.
En concluant cette première encyclique programmatique, Jean XXIII exprime cette vision du futur concile à la fois « ad extra » et « ad intra » en ces termes :
« … Et puisqu’il y a aujourd’hui tant d’hommes et de femmes qui ont besoin de nos conseils, de la lumière de notre exemple et même de nos secours, à cause de l’état de misère dans lequel ils se trouvent, exercez-vous aux œuvres de miséricorde, qui sont très agréables à Dieu, chacun selon ses forces et ses ressources. Si vous vous efforcez tous d’accomplir tout cela, on verra de nouveau briller dans l’Eglise cet état de vie chrétienne décrit de façon si étonnante dans l’épitre à Diognète.[19]».
Il ne reste plus qu’à voir ce que va donner cette consultation mondiale… Mais ce sera une autre histoire !
------------------------------------------------------------------------------------------------------------- [1] Emmanuel BOHLER, C'était l'année 59 ! (02), article publié le 10 février 2012 et retravaillé le 28 juillet 2021. [2] Jean XXIII, Homélie pour la fête de la Pentecôte, 17 mai 1959. Publié dans la Documentation Catholique, N°1306, 21 juin 1959. [3] Ac 2, 1-18. [4] Jean XXIII, Encyclique Ad petri cathedram, 29 juin 1959. Publiée dans la Documentation catholique, N°1308, 19 juillet 1959, p.897-922. [5] Emmanuel BOHLER, 25 janvier 1959 : Importante décision du Saint-Père (02), article publié le 31 octobre 2011 et retravaillé le 25 juillet 2021. Mais également 25 janvier 1959 : Importante décision du Saint-Père (03), article publié le 8 novembre 2011 et retravaillé le 26 juillet 2021. [6] Jean XXIII, Encyclique Ad petri cathedram, 29 juin 1959. Publiée dans la Documentation catholique, N°1308, 19 juillet 1959, p.897-922. [7] Concile Vatican II, Constitution dogmatique sur le révélation divine Dei Verbum, du 18 novembre 1965. [8] Concile Vatican II, Décret sur les moyens de communication sociale Inter Mirifica, du 4 décembre 1963. [9] Jean XXIII, Encyclique Ad petri cathedram, 29 juin 1959. Publiée dans la Documentation catholique, N°1308, 19 juillet 1959, p.897-922. [10] Concile Vatican II, Constitution pastorale sur l'Eglise dans le monde de ce temps Gaudium et spes, du 7 décembre 1965. [11] Concile Vatican II, Décret sur l'apostolat des laïcs Apostolicam actuositatem, du 18 novembre 1965. [12] Cf note 10. [13] Concile Vatican II, Constitution dogmatique sur l'Eglise Lumen Gentium, du 21 novembre 1964. [14] Concile Vatican II, Décret sur l'œcuménisme Unitatis redintegratio, du 21 novembre 1964. [15] Concile Vatican II, Décret sur la charge pastorale des évêques dans l'Eglise Christus Dominus, du 28 octobre 1965. [16] Concile Vatican II, Constitution dogmatique sur la sainte liturgie Sacrosanctum Concilium, du 4 décembre 1963. [17] Jean XXIII, Encyclique Ad petri cathedram, 29 juin 1959. Publiée dans la Documentation catholique, N°1308, 19 juillet 1959, p.897-922. [18] Jean XXIII, Encyclique Ad petri cathedram, 29 juin 1959. Publiée dans la Documentation catholique, N°1308, 19 juillet 1959, p.897-922. [19] Ibid.
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