Avez-vous remarqué comme tout est caché ?
Il faut attendre le verset onze pour que l’on parle de Jésus, et encore sous le voile de l’expression « Celui qui vient ». N’est-ce pas comme la poésie d’une aurore, où le ciel a déjà changé de couleur, où l’on peut déjà distinguer les formes, mais où le soleil n’est pas encore levé.
« Ô crux ave, spes unica » qui peut se traduire par « Ô Croix salut ! espérance unique ! ».
Tel est ce verset que l’on retrouve souvent inscrit sur les croix de nos églises, et calvaires de nos campagnes. Ce verset appartient à l’hymne Vexila Regis et son histoire nous permettra de comprendre le sens de cette fête.